DEPART POUR LA FRANCE

Oui ce fut difficile de partir.

Comment laissé ma Mozza... ma toute douce et Marco.

Nous sommes restées un bon moment à regardé Toute douce qui jouait avec les cailloux, qui elle ne se rendait pas compte comme c'était très difficile de partir.

Puis Bibounet à approché la voiture, un dernier bisou, et vite dans la voiture et vite démarrer, surtout ne pas se retourner, trop difficile de les quitter.

Dans la voiture on aurait pu entendre les Zanzares... Ah mais vous ne connaissez pas les Zanzares ??? et bien voilà un zanzare...

zanzare commun...

zanzare tigre...

et pour ma part je vous assure qu'ils connaissent parfaitement mes pieds, car encore une fois je me suis fais dévorée... et je suis sur que dans la voiture il y en avait oh que oui....

Juste avant le grand départ de toute la famille .... pour la France, pour Milan .... etc... nous nous sommes tous retrouvez chez la maman de Mozza, j'en ai bien profité, mon gentils Joseph m'a donné les photos qu'il avait fait... du mariage.

Dis mon Joseph et tes lunettes ??? elles sont où ? car moi j'y vois plus rien. Tu y vois bien avec mes lunettes ????

L'heure du départ a sonnée... déjà... snifffffffffffffffffffffff

et Bibounet lui se décide à rendre toute douce Tata à sa grand-mère... Snifff aussi

On ferme les yeux et on s'impreigne de la douceur de ce moment, surtout ne pas pleurer, non non.

Toujours là même, elle parle au téléphone et sur l'autre m'écris des bêtises.... (sur.... oups je vous dirais pas)

dernière tentative pour ce faire comprendre... alors là c'est pas encore au top du top.... Mais avec les mains c'est sur il va y arrivé.

Cette fois c'est sur... En voiture direction chez la grand mère pour prendre des plantes... et un dernier au revoir

 Un petit passage devant l'église, tout es bien propre. Plus de souvenirs du mariage de Mozza... SNIFFF

Mais non ma Lili, les grenades, elles ne sont pas encore mures... il faut les laissées sur leur arbre voyons... Ne t'en fais pas Gentils voisin m'en donnera sûrement.

Mais elle insiste tellement qu'elle veut nous faire plaisir...

15 ans plus tard... il es toujours là cet arbre. Et savez vous que notre Lilli n'a pas les droits de l'enlever ce magnolia car il fait parti du paysage classé du Brenta.

Je l'ai toujours connu, j'aimerai tant savoir son âge.

Une petite maison... enfin petite c'est vite dit, mais tellement agréable. J'ai vraiment pas envie de partir.

Même Gnagnou ne veut absolument pas partir, il faut vraiment le tenir pour qu'il reste dans la voiture.

Aller cette fois c'est parti.

Quelques édifices tout au long de la route à admirés.

Ah enfin, je n'aurais pas voulu ne pas nous y arrêtés....

En fait nous ne voulions pas vous le dire, mais je vous présente ma résidence secondaire. Oui nous n'y allons pas très souvant mais je trouve que les employés ont bien faire leur travail.

Mais non en fait....

"Elle appartient à la famille Pisani, dite Pisani di Santo Stefano, car cette branche des Pisani possédait un très grand palais sur le Campo Stefano à Venise (devenu conservatoire de musique). Ces Pisani sont devenus l'une des familles patriciennes de Venise au 14e et 15e siècles. Un certain Alvise (1664 – 1741) fut ambassadeur de Venise à la cour de Louis XIV, puis Doge de Venise en 1735.

La Villa Pisani, aussi appelée l'Assemblée nationale, est l'un des exemples les plus fameux de la villa vénitienne au bord du fleuve Brenta, situé à Stra, près de Venise, et surplombe le canal de la Brenta. Elle est maintenant un musée national qui abrite des oeuvres d'art et mobilier des XVIIIe et XIXe siècles.

La villa a été construite de 1721 sur des plans de Jérôme Frigimelica et Francesco Maria Preti pour la noble famille vénitienne Pisani di Santo Stefano. À l'intérieur on découvre des œuvres de Giambattista Tiepolo, Giovanni Battista Crosato, Giuseppe Zais, Jacopo Guarana, Charles Bevilacqua, Francesco Simonini, Jacopo Amigoni et Andrea Urbani. Beaucoup de ses tableaux ou ses fresques reflètent l'esprit de plaisir qui y régnait, comme en témoignent les représentations de jeux d'argent, des bals ou de spectacles (Goldoni). Plaisirs des sens également et de la bonne chair (à tous les sens du terme). A l'origine, la villa comptait 114 pièces (aujourd'hui 168), en hommage au 114e doge de Venise, Alvise Pisani.

Sa monumentalité la destinait à être souvent choisie comme une résidence ou un lieu de rencontres entre des monarques et des chefs d'État ou de gouvernement, la Villa Pisani a accueilli Gustave III de Suède, Maximilien de Habsbourg et entre autres, Napoléon Bonaparte en 1807, qui l'a achetée à la famille Pisani pour le vice-roi d'Italie Eugène de Beauharnais. En effet, l'apogée de la famille Pisani di Santo Stefano, au 18e siècle, précéda sa chute. Le démon du jeu s'empara de certains Pisani et, suite à une dette de jeu colossale, les Pisani furent contraints de vendre leur villa de la Brenta à Napoléon.

Dans un grand projet de rénovation de la villa, les fresques de Tiepolo ont failli disparaître à jamais. Heureusement, seules quelques salles furent modifiées, dans l'aile donnant sur le Brenta. Elles sont meublées en style Empire. Magnifique mobilier à emblème impérial, marqueterie, les meubles ont été créés spécialement pour la villa.

En 1814, la villa devint propriété des Habsbourg, et un centre de vacances et d'hébergement de l'aristocratie européenne, Charles IV d'Espagne au tsar Alexander I à Ferdinand II de Bourbon, roi de Naples. En 1866, l'année de l'annexion de la Vénétie au royaume d'Italie, la Villa Pisani est devenue propriété de l'Etat, perdit sa fonction de représentation pour devenir, en 1884, un musée. En 1934, il a accueilli la première réunion officielle entre Mussolini et Hitler.

Actuellement, une trentaine de pièces se visitent, qui conservent leurs fresques, peintures et mobilier d'origine, ce qui est rare.

Dans la salle à manger, le temps s'est comme arrêté. La table est encore dressée avec un service de vaisselle utilisé par la cour de Napoléon, autour d'une pièce en albâtre néo-classique. Les étagères sur les murs renferment de la céramique rococo du XVIIIe siècle.

Texte pris sur internet

J'aurais bien aimé un portail comme celui-ci à l'Arlésienne, mais ce n'est pas trop le style de notre Provence...

Padoue, enfin chic.... Ah mais la route pour prendre l'autoroute es là, oh mince nous ne passerons pas par le centre ville... Snifffff

Même Gnagnou es triste et fait un dernier coucou à l'Italie.

L'autoroute es enfin là, avec ses cortèges de camions... Cette autoroute es super fréquenté là oui...

Premier arrêt et déjà Gnagnou fait des siennes....

Et un accident, ah ben là si le trajet commence comme cela.... Oui oui regardez bien la voiture sur la droite, elle a été tapé à l'arrière et à tourné sur elle même, pas de coupure de circulation, alors on continu... pas de blessés.

Un petit arrêt grignotage qui fait du bien.

Oh que c'est bon ce que je mange oh que oui...

Des tramezzini, oh mon Dieu que c'est bon, peut être pas pour la ligne mais c'est quand même super bon.

Du super bon pain spécial Tramezzini, du jambon, des oeufs, de la mayonnaise avec un peu de légumes je vous assure que c'est un vrais régal.

Là nous n'avions pas d'autre solution nous les avons achetez, mais sinon je les fais moi même, la seule difficulté c'est de trouver ce pain bien particulier.

Alors là j'étais un tantinet en colère, car notre gentille Lilli avait arraché le dessus du paquet de Bibounet mais sur le coup nous pensions qu'elle voulait prendre le paquet pour le jeter... mais non en fait nous avons compris, elle voulait savoir ce que Bibounet fumait comme cigarettes.... Et dans le petit carton qu'elle nous avait préparer et bien nous trouvé un petit sachet avec les 2 paquets GRRRRR. Pas raisonnable, oh non pas du tout.

Mais en court de route Bibounet qui s'était fait expliqué par mon Joseph et son frère où il fallait prendre une autre autoroute qui rejoint notre point de départ vers Briançon, certes elle es moins large donc moins beaucoup moins de camions et plus reposante pour conduire, quelques kilomètres de plus mais du temps de gagner et surtout moins de fatigue et de stress.

Tiens les montagnes se montrent au loin...

Enfin un péage...

J'en reviens pas, regardez la voiture juste là au dessus... elle es chargée comme une mule. Ils rentrent du bled... Les premiers travaux, une bosse (car en Italie les autoroutes ne sont pas parfaites comme les nôtres) et je vous dis pas l'accident. A l'entrée ou aux sorties des bateaux ont devraient les empêchés de prendre la route.

Il y a vraiment des gens inconscients. En plus des bagages la voiture es pleine d'adultes et d'enfants. INCONSCIENTS.

Bientôt en France...

premier tunnel....

Cette fois le dernier tunnel chic chic.

Le soleil vient de disparaître et la nuit ne va pas tarder...

FRANCE 7 KM

et on monte toujours...

Montgenèvre enfin et encore la frontière....

et là je m'apperçois qu'il n'y a plus un chat à la frontière... et dire que pour l'allée j'ai cru mourir.

Cette fois la nuit arrive... et Briançon aussi et nous allons attaqué la descente sur Bourg d'Oisans et Grenoble.

Petit arrêt à la maison, un petit coup de fils à l'Italie pour les rassurer qu'on es enfin à la maison, on dépose quelques cartons, on change de valise et on repart pour l'Arlésienne quelques jours pour nous remettre car nous sommes un peu à moitié mort....

Mais c'était sans compté sur notre Zaza, car arrivé à Grenoble, Bibounet me dit "Eh regarde la bonne femme qui nous fais de grands signes à côté dans la voiture blanche...." et oui une dame blonde qui nous faisait de grands gestes et là enfin je tilte et bien c'était Maman Flo, papa Dom le gentils informaticien et les filles.

Quelle joie de les voire mais comme ils habitent pas très loin de chez nous, nous sommes obligés de prendre la même route. Nous les avons invité à se rendre à notre maison pour justement leur donné toutes les bonnes choses que nous leur avions rapporté.... Ils ne sont pas rester longtemps car nous aussi nous devions repartir pour l'Arlésienne et 1/2 heure plus tard on était de nouveau sur l'autoroute et vers 1 h du matin nous étions enfin dans notre très chère ARLESIENNE pour 3 jours de repos.

Comments

[Katy]

grace à tout cela je comprends maintenant qui est Mozza et pourquoi ce surnom (hi,hi) !!!!!!!! bisous, bonne soirée